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Cette année encore, la grippe va faire très mal." publié le 28.10.19. Communiqués et dossiers de presse Maladies Prévention en santé Santé. L’hiver arrive à grands pas, et, avec lui, la grippe saisonnière. Forte fièvre, fatigue intense, risque d’hospitalisation la grippe peut entraîner des complications graves chez les seniors âgés de 65 ans et plus, chez les personnesAjout/Modification 02/02/2015 + 37 réactions Impôts > Nouveautés impôt 2015 > APL et rattachement fiscal bientôt la fin du cumul ? APL et rattachement fiscal bientôt la fin du cumul ? C'est un sujet sensible qui est remis sur la table selon Les Echos. La nouvelle n'a pas encore fait grand bruit car elle n'a pas été officiellement annoncée par l'exécutif les étudiants ne pourraient bientôt plus cumuler le rattachement au foyer fiscal de leur parent et l'aide au logement. Pas d'emballement, ce n'est pour l'instant qu'une des nombreuses mesures proposées au gouvernement dans un rapport publié par trois organismes d'Etat IGAS, IGF et CGEDD. Ces institutions avaient pour mission d'étudier l'efficience de la politique du logement. Et le résultat n'est pas très encourageant ! Les aides au logement coûtent très cher 46 milliards pour une efficacité mitigée. Le rapport met l'accent sur les critères d'obtention des aides leur modulation pourrait permettre d'économiser près de 10 % de la dépenses totale. 400 millions avec la suppression du cumul avantages fiscaux / APL pour les étudiants. Avantages fiscaux ou aides au logement pourquoi choisir ? Parmi les mesures évoquées, le cumul du rattachement et de l'APL. En effet, les étudiants de moins de 25 ans qui poursuivent des études peuvent percevoir les APL tout en étant rattachés au foyer fiscal de leur parent car l'attribution des aides est basée sur les revenus de l'étudiant et non du foyer auquel il est rattaché. Les parents bénéficient en parallèle de la majoration de part consécutive au rattachement. Et si l'enfant n'est pas rattaché, les parents peuvent déduire une pension alimentaire d'un enfant allocataire. Dans un précédent rapport en 2012 page 70, l'Inspection Générale des Affaires Sociales IGAS dénonçait déjà ce double avantage pour un même effet qui profite à près de 450 000 étudiants indirectement à leur famille, soit 65 % d'entre eux. Pour les auteurs du rapport, l'aide au logement reviendrait en réalité à aider les parents et non le jeune étant donné que celui-ci est déclaré à leur charge. Il serait donc plus logique de prendre en considération les revenus des parents et non de l'enfant. Toutefois, l'IGAS admet que le cumul est bénéfique voire vital pour certains foyers, au risque de remettre en cause la poursuite d'études de leurs enfants. Des mesures dérogatoires seraient donc à mettre en place pour les étudiants boursiers et ceux qui doivent partir dans un autre ville. ActuSanté : « Cette année encore, la grippe va faire très mal » En 2018, l'épidémie de grippe a généré 65 000 passages aux urgences dont 11 000 #ActuSanté : « Cette année encore, la grippe va faire très mal » En 2018, l'épidémie de grippe a généré 65 000 passages aux urgences dont 11 000 Jump to. Sections of this page . Accessibility Help. Press alt + / to open this
On les avait presque oubliés ! Alors qu’ils s’étaient presque éteints l'année dernière, les virus de l’hiver sont en train d’opérer leur grand retour. A nouveau, grippe, gastro-entérite, angine et rhume piquent les gorges, font couler les narines et chamboulent les estomacs. En cause, le refroidissement des températures, mais surtout un relâchement des gestes barrières provoqué par la forte couverture vaccinale, qui a redonné envie aux Françaises et aux Français de se serrer les mains et de se refaire la doit-on se préparer à un hiver classique d’épidémies virales hors Covid-19 ? Ou à un retour encore plus important après leur absence l’hiver dernier ? On retrouve un automne presque comme en 2019 »Entre le 13 et le 19 septembre, le taux d’incidence des cas d’infection respiratoire aiguë vus en consultation ou en téléconsultation de médecine générale a été estimé à 65 cas pour habitants », indique le Réseau Sentinelles dans son dernier bulletin épidémiologique. Côté gastro, le taux d’incidence des cas de diarrhée aiguë a été estimé à 82 cas pour habitants ». Pas de quoi déjà parler d’épidémies, mais dans les cabinets de médecine générale, la hausse des chiffres se confirme. On retrouve un automne presque comme en 2019. Certes encore en retrait par rapport à une année "normale" d’avant Covid, mais visiblement, les maladies hivernales repartent, à la fois chez les enfants et les jeunes adultes », constate le Dr Jean-Louis Bensoussan, médecin généraliste et secrétaire général du syndicat MG les motifs de consultation, on retrouve les rhinopharyngites, et chez les adultes un peu plus âgés, on a pas mal de cas de surinfections avec des sinusites et des bronchites qui s’y ajoutent, détaille le médecin. Ainsi que les premières bronchiolites qui démarrent chez les tout-petits ». Côté calendrier, l’arrivée de ces virus dans la deuxième quinzaine de septembre est tout à fait normale par rapport aux années d’avant Covid, assure le Dr Bensoussan. Cela intervient toujours dans les deux à trois semaines suivant la rentrée scolaire, puisque ce sont notamment les brassages scolaires qui font que les virus et microbes sont transmis ».Baisse des gestes barrières ou changement de l’écosystème viral ?Mais ce retour en force a aussi été favorisé par nos mauvaises habitudes prises cet été. La hausse de la couverture vaccinale et le sentiment de protection contre le coronavirus qu’elle procure ont eu pour conséquence logique un relâchement sur la distanciation sociale. L’adhésion aux mesures barrières tend à baisser, certaines d’entre elles étant moins suivies chez les vaccinés, et ce depuis la fin juin », confirme Santé publique France dans ses derniers bulletins épidémiologiques. Il y a eu un peu de relâchement chez les adultes, concède le Dr Bensoussan. Mais c’est normal après tous ces mois de restrictions ; les gens ont envie de se retrouver, de refaire des repas ensemble. D’où l’importance de rappeler que même entre personnes vaccinées, il peut y avoir transmission des autres virus et microbes par les mains, la salive et les postillons ».Et pour les plus jeunes, même si le port du masque est en vigueur dans les écoles, au moment des récréations et du déjeuner, les enfants et les adolescents peuvent se relâcher sur les gestes barrières, il y a des brassages et des embrassades, explique le médecin. Mais on s’y attendait l’année dernière, toutes les épidémies traditionnelles ont été bloquées par les confinements et fermetures d’écoles. Le retour à une vie similaire à celle d’avant implique forcément le retour des virus qui sévissent habituellement à cette période de l’année ». Ce retour des maladies hivernales signifie-t-il que le Covid-19 est suffisamment en recul pour leur faire de la place ? Il va falloir attendre les prochaines semaines pour répondre à cette question, estime le Dr Bensoussan. Si on a une forte épidémie de grippe et d’autres virus et microbes, on pourra parler de changement d’écosystème viral. Mais il est trop tôt pour le dire ».Manque de stimulation immunitaire et risque d’épidémie importante de bronchioliteAutre virus quasiment éteint l’hiver dernier la bronchiolite, qui touche les tout-petits. L’amplitude de l’épidémie [l’hiver dernier] a été très inférieure à celle de la saison précédente, confirme Santé publique France. Une épidémie de plus grande ampleur que celle observée chaque année est possible du fait de la moindre stimulation immunitaire induite par la faible circulation du virus l’hiver dernier, dans un contexte de levée des mesures barrières. Un tel phénomène a été observé en Australie, qui a rapporté à l’automne une épidémie d’intensité inhabituelle ». L’année dernière, toute une population de tout-petits n’a pas été au contact du VRS virus respiratoire syncytial, le principal responsable de la bronchiolite. Cette année, le virus va donc se trouver dans un terrain plus favorable. Mais c’est à relativiser, puisque la bronchiolite touche beaucoup de nourrissons et de tout-petits, qui par définition n’étaient pas tous nés l’année dernière à la même période », rassure le pour ne pas faire trop de place à ces maladies qui ne nous avaient pas vraiment manqué, il faut revenir à tout ce qu’on a très bien fait l’année dernière, et au-delà du seul coronavirus, prescrit le Dr Bensoussan. On pense à se laver les mains, porter un masque dès qu’on est malade et qu’on tousse, et garder le réflexe de ne pas se serrer la main ni faire la bise ».
LAssurance Maladie a également lancé une nouvelle campagne de communication sur la vaccination avec la signature "Cette année encore, la grippe va faire très mal", ainsi qu'une campagne deIl ne faut pas confondre le nombre de morts et la létalité des deux posée par Jean-Paul le 23/02/2020Bonjour,Depuis le début de l’épidémie de Covid-19, vous avez été nombreux à nous interroger sur le nombre de morts, en nous demandant de le comparer avec celui de la grippe fait, selon l'OMS, de 290 000 à 650 000 décès par an dans le monde entier. En France, pour la saison 2018-2019, elle a fait 8 100 morts. La létalité le nombre de morts par rapport à la population infectée de la grippe saisonnière est de 0,2 à 0,5% selon Santé publique lire aussi Le coronavirus de A à ZConcernant le Covid-19 on compte selon l'université de Baltimore 2 810 décès dans le monde. Deux personnes sont mortes en France à cause du Covid-19 depuis le début de l'épidémie. Concernant la létalité, une étude publiée il y a quelques jours par le Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies CDC revient en détail sur l'épidémiologie du virus grâce à des données collectées jusqu'au 11 février. La létalité du nouveau coronavirus est de 2,3% si l'on ne compte que les cas confirmés par des tests de l'ARN viral prélevés dans la gorge, et de 2,6% si l'on compte tous les cas de personnes contaminées. Dix fois plus que pour la grippe saisonnière en clair, si on se fie aux chiffres bruts la grippe saisonnière tue beaucoup plus de monde que le Covid-19 à ce jour ce qui est logique étant donné le nombre de personnes exposées. Mais la létalité du Covid-19 est nettement plus importante que celle de la grippe.Comparer des choux et des carottes»Pour autant, cette seconde comparaison ne veut pas dire grand-chose. Premièrement, car les deux maladies ne touchent pas les mêmes personnes. La grippe saisonnière touche beaucoup les enfants, mais avec un très faible taux de mortalité, alors que les personnes âgées, moins touchées, ont le plus fort taux de mortalité, explique à CheckNews Bruno Lina, virologue et chercheur au Centre international de recherche en infectiologie Ciri. Ainsi, 64% des morts de la grippe saisonnière en 2018-2019 avaient plus de 65 ans, selon Santé publique le CDC chinois, les enfants ne sont pas du tout touchés par le Covid-19. Les moins de 10 ans représentent moins de 1% des personnes contaminées. On observe des formes graves de Covid-19 chez des adultes de moins de 65 ans, ce qui est rare pour la grippe», explique le chercheur. Ce n'est pas la même épidémie, elle n'a pas la même circulation, et ne touche pas les mêmes tranches d'âge. C'est comme comparer des choux et des carottes», résume à CheckNews Bruno le détail, voici les statistiques sur la létalité du Covid-19. Les personnes âgées de plus de 80 ans sont les plus touchées la létalité pour leur tranche d'âge est de 14,8%. Elle est de 8% pour les 70 à 79 ans, de 3,6% pour les 60-69 ans, 1,3% pour les 50-59 ans, 0,4% pour les 40-49 ans, et 0,2% pour les 10-39 ans. Les femmes meurent moins que les hommes 1,7% de létalité contre 2,8%. Les personnes originaires du Hubei, la région où se situe Wuhan, l'épicentre de l'épidémie, sont plus touchés puisque le taux est de 2,9% contre 0,4% dans les autres provinces. Les patients déjà atteints de maladies cardiovasculaires sont les plus menacés 10,5% devant les diabétiques 7,3% ou les personnes souffrant de maladies respiratoires chroniques 6,3% ou d'hypertension 6%. Au total, 80% des cas de Covid-19 sont bénins, selon cette étude. La période où la létalité a été la plus forte a été celle menant jusqu'au 10 janvier 15,6%. Du 1er au 11 février, elle était de 0,8%. Cette très forte chute s'explique par le fait que sur la première période du 1er au 10 janvier, il y avait encore très peu de cas diagnostiqués 653 cas, pour 102 morts.Sommet de l’iceberg»Par ailleurs, la létalité n'est pas calculée de la même manière pour le Covid-19 et la grippe saisonnière. Les chiffres chinois s'appuient uniquement sur des diagnostics. Pour la grippe saisonnière, en France par exemple, on met en place un système de surveillance, et à partir des cas répertoriés, on extrapole», explique le virologue. L'année dernière, CheckNews vous expliquait dans le détail comment se faisait cette extrapolation. Si on regardait la seule population diagnostiquée, on ne trouverait pas une létalité de 0,2% mais probablement beaucoup plus», affirme Bruno est de toute façon encore trop tôt pour pouvoir comparer les deux maladies. On n'a que le sommet de l'iceberg pour l'instant», indique le virologue. On ignore encore comment va se transformer l' chinoise compare le Covid-19 avec les deux précédentes épidémies de syndrome respiratoire, le Sras en 2002-2003 et le Mers en 2012. La létalité du SRAS était de 9,6% en 2002-2003 selon l'OMS, et elle est de 34,8% pour le Mers, qui est toujours en le podcast hebdo des coulisses de CheckNews. Cette semaine comment nous avons trouvé qui se cachait derrière la page facebook de Zoé Sagan, une des premières à avoir partagé le lien vers les vidéos intimes de Benjamin Griveaux..