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I Have a Dream - French Translation J'ai un Rève Martin Luther King, Jr. Discours prononcé par Martin Luther King, Jr, sur les marches du Lincoln Memorial, Washington le 28 août 1963. Il y a cent ans, un grand américain, qui jete sur nous aujourd'hui son ombre symbolique, a signé la Proclamation d'Emancipation. Cet arrête d'une importance capitale venait porter lumière, comme une phare d'espoir, aux millions d'esclaves Noirs marqués par les flammes d'une injustice foudroyante, et annonçait l'aube joyeuse qui allait mettre fin à la longue nuit de la captivité. Mais un siecle plus tard, nous devons faire le constat tragique que les Noirs ne sont pas encore libres. Un siècle plus tard, la vie des Noirs reste entravée par la ségrégation et enchainée par la discrimination. Un siècle plus tard, les Noirs représentent un ilôt de pauvreté au milieu d'un vaste océan de prospérité matérielle. Un siècle plus tard, le Noirs languissent toujours dans les marges de la société américaine, des exilés dans leur propre terre. Alors nous venons içi aujourd'hui pour dramatiser notre condition effroyable. Nous venons à la capitale de notre nation pour demander, en quelque sorte, le paiement d'un chèque. Quand les architectes de notre république ecrivirent les textes magnifiques de la Constitution et de la Déclaration d'Indépendence, ils signèrent un billet à l'ordre de chaque américain. C'était la promesse que chacun serait assuré de son droit inaliènable a la vie, à la liberté et à la poursuite du bonheur. Il est aujourd'hui evident que l'Amérique a manqué a cet engagement quant à ses citoyens de couleur. Au lieu de faire honneur à cette obligation sacrée, l'Amérique à passé au peuple Noir un chèque qui revient marqué "sans provisions". Mais nous ne saurons croire que la banque de la Justice a fait faillite. Nous ne saurons croire qu'il n'y a plus suffisamment de provisions dans les grands coffres d'opportunité nationaux. Alors nous venons exiger paiement contre ce chèque, paiement sur demande des richesses de la liberté et de la sécurité que procure la justice. Nous venons également à cet endroit sacré pour rappeler à l'Amérique l'urgence absolue du moment. Ce n'est pas le moment de prendre le luxe de laisser calmer les esprits, ni de nous laisser endormir par une approche gradualiste. Il est temps de quitter la vallée sombre et désolée de la ségrégation pour prendre le chemin ensoleillé de la justice raciale. Il est temps d'ouvrir les portes de l'opportunité à tous les enfants de Dieu. Il est temps de tirer notre nation des sables mouvants de l'injustice raciale jusqu'au rocher solide de la fraternité. Que la nation ne tienne pas compte de l'urgence du moment, qu'elle sous-estime la détermination des Noirs, lui serait fatal. Cet été étouffant du mécontentement légitime des Noirs ne prendra fin qu'à l'arrivée d'une automne vivifiante qui amenera liberté et égalité. L'annee 1963 n'est pas une fin, mais un début. Ceux qui veulent croire que les Noirs seront satisfaits seulement de s'exprimer avec force auront un fâcheux réveil si la nation revient aux affaires habituelles comme si de rien n'était. L'Amérique ne connaîtra ni repos ni tranquilité tant que les Noirs ne jouissent pas pleinement de leurs droit civiques. Les orages de la révolte continueront à secouer les fondations de notre pays jusqu'au jour où la lumière de la justice arrivera. Mais il y a quelquechose que je doit dire à mon peuple, qui sont sur le point de franchir le seuil de la justice. En luttant pour prendre notre juste place, nous ne devrons pas nous rendre coupables d'actes injustes. Ne buvons pas de la coupe de l'amertume et de la haine pour assouvir notre soif. Nous devons toujours conduire notre lutte dans un haut souci de dignité et de la discipline. Nous ne pouvons pas laisser notre protestation créative dégénérer en violence physique. Encore et encore, nous devons atteindre ce niveau exalté où nous opposons à la force physique, la force de l'âme. Le militantisme merveilleux qui a pris la communauté noire ne doit pas nous amener à nous méfier de tous les Blancs, puisque beaucoup de nos frères Blancs, on le voit par leur présence içi aujourd'hui, se sont rendus compte que leur destin est lié au nôtre, et que leur liberté dépend étroitement de la nôtre. Nous ne pouvons pas marcher seuls. Et quand nous marchons, nous devons jurer d'aller toujours de l'avant. Nous ne pouvons pas faire demi-tour. Il y en a qui demandent aux fervents des droits civiques, "Quand serez-vous satisfaits?" Nous ne saurons être satisfaits tant que nous ne pouvons pas laisser nos corps fatigués se reposer dans les motels des routes ni les hôtels des villes. Nous ne saurons être satisfaits tant que les Noirs ne peuvent bouger que d'un petit ghetto à un ghetto plus grand. Nous ne saurons être satisfaits tant qu'un Noir en Mississippi n'a pas le droit de voter et qu'un Noir à New York ne voit rien pour lequel il peut voter. Non, non-nous ne sommes pas satisfaits, et nous ne serons satisfaits que le jour où la justice se déchainera comme les eaux, et que la rectitude sera comme une fleuve puissante. Je ne suis pas sans savoir que certains d'entre vous arrivent ici après maintes épreuves et tribulations. Certains d'entre vous viennent directement des cellules étroites de prison. Certains d'entre vous viennent des régions où votre quête pour la liberté vous a laissés meurtris par les orages de la persécution et renversés par le vent de la brutalité policière. Vous êtes les véterans de la souffrance créative. Persévérez dans l'assurance que la souffrance non-méritée vous portera rédemption. Retournez au Mississippi, retournez à l'Alabama, retournez à la Géorgie, retournez à la Louisiane, retournez aux ghettos et quartiers pauvres de nos villes du Nord, en sachant que cette situation, d'une manière ou d'une autre, peut être et sera changée. Ne nous complaisons pas dans la vallée de la désespoir. Je vous dis aujourd'hui, mes amis, que malgré les difficultes et les frustrations du moment, j'ai quand même un rève. C'est un rève profondement enracinée dans le rève américain. J'ai un rève-qu'un jour, cette nation se lèvera et vivra la vrai signification de son croyance "Nous tenons ces vérités comme allant de soi, que les hommes naissent égaux." J'ai un rève-qu'un jour, sur les collines de terre rouge de la Géorgie, les fils des anciens esclaves et les fils des anciens propriétaires d'esclaves pourront s'asseoir ensemble à la table de la fraternité. J'ai un rève-qu'un jour même l'etat de Mississippi, un désert étouffant d'injustice et d'oppression, sera transformé en un oasis de liberté et de justice. J'ai un rève-que mes quatre enfants habiteront un jour une nation où ils seront jugés non pas par la couleur de leur peau, mais par le contenu de leur caractère. J'ai un rève aujourd'hui. J'ai un rève-qu'un jour l'état de l'Alabama, dont le gouverneur actuel parle d'interposition et de nullification, sera transformé en un endroit où des petits enfants noires pourront prendre la main des petits enfants blancs et marcher ensemble comme freres et soeurs. J'ai un rève aujourd'hui. J'ai un rève-qu'un jour, chaque vallée sera levée, chaque colline et montagne sera nivellé, les endroits rugueux seront lissés et les endroits tortueux seront faits droits, et la gloire du Seigneur sera révélée, et tous les hommes la verront ensemble. Ceci est notre espoir. C'est avec cet espoir que je rentre au Sud. Avec cette foi, nous pourrons transformer les discordances de notre nation en une belle symphonie de fraternité. Avec cette foi, nous pourrons travailler ensemble, prier ensemble, lutter ensemble, être emprisonnés ensemble, nous révoltons pour la liberte ensemble, en sachant qu'un jour nous serons libres. Quand ce jour arrivera, tous les enfants de Dieu pourront chanter avec un sens nouveau cette chanson patriotique, "Mon pays, c'est de toi, douce patrie de la liberté, c'est de toi que je chante. Terre où reposent mes aïeux, fierté des pélerins, de chaque montagne, que la liberté retentisse." Et si l'Amérique veut être une grande nation ceci doit se faire. Alors, que la liberté retentisse des grandes collines du New Hampshire. Que la liberté retentisse des montagnes puissantes du New York. Que la liberté retentisse des hauts Alleghenies de la Pennsylvanie! Que la liberté retentisse des Rockies enneigées du Colorado! Que la liberté retentisse des beaux sommets de la Californie! Mais pas que ça-que la liberté retentisse des Stone Mountains de la Georgie! Que la liberté retentisse des Lookout Mountains du Tennessee! Que la liberté retentisse de chaque colline et de chaque taupiniere du Mississippi! Que la liberté retentisse! Quand nous laisserons retentir la liberté, quand nous la laisserons retentir de chaque village et de chaque lieu-dit, de chaque état et de chaque ville, nous ferons approcher ce jour quand tous les enfants de Dieu, Noirs et Blancs, Juifs et Gentils, Catholiques et Protéstants, pourront se prendre par la main et chanter les paroles du vieux spiritual noir, "Enfin libres! Enfin libres! Dieu Tout-Puissant, merci, nous sommes enfin libres!"

Discoursdu pasteur Martin Lut PDF En Ligne - " I have a dream ". Discours du pasteur Martin Lut a été écrit par Martin luther King qui connu comme un auteur et ont écrit beaucoup de livres intéressants avec une grande narration. " I have a dream ". Discours du pasteur Martin Lut a été l'un des livres de populer sur 2016. Il contient 64 pages et disponible sur format . Ce livre a été
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Letitre du discours I Have a Dream vient de son passage le plus connu : « I say to you today, my friends, so even though we face the difficulties of today and tomorrow, I still have a dream. It is a dream deeply rooted in the American dream.

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I have a dream J’ai un rêve » est le discours le plus célèbre de Martin Luther King. Il est considéré pour beaucoup comme le plus beau jamais prononcé par un Américain. De portée universelle, il se place dans le cadre historique de la marche sur Washington du 28 août prononçant son discours à la marche de Washington, le 28 août 1963. Photo © Rowland Scherman. Source Library of Congress, Prints and Photographs Division, Washington et la ferveur qui ont accompagné le discours vont contribuer à l’adoption des lois anti-ségrégation de prend la parole à la fin de la manifestation, devant le Lincoln Memorial, pour appeler à la fin du racisme aux États-unis. Grand orateur, rôdé aux discours prononcés en tant que pasteur et leader du mouvement des droits civiques, King s’inspire de thèmes bibliques et des textes constitutifs de l’ première partie de son allocution s’articule autour des promesses non tenues le noir […] se trouve en exil dans son propre pays » un siècle après l’abolition de l’esclavage ; tous les hommes sont créés égaux » est un credo de la déclaration d’indépendance et la constitution garantit à chacun le droit inaliénable à la vie, à la liberté et à la recherche du bonheur ». Mais l’amérique ne connaitra ni le repos ni la tranquillité tant que le noir n’aura pas obtenu ses droits de citoyen ». nous ne devons pas laisser nos revendications créatrices dégénérer en violence physique ». Aux mots d’esclavage et de haine, king oppose les mots de liberté et d’égalité. La chanteuse de gospel présente à ses côtés, Mahalia Jackson, lui souffle alors parle-leur de ton rêve, Martin ». La seconde partie de son discours, d’une durée au final de 17 minutes, lève un vent d’espoir j’ai un rêve aujourd’hui … un rêve profondément ancré dans le rêve américain [ …] ». Il poursuit, dans un paragraphe devenu l’un des plus célèbres, je rêve qu'un jour sur les collines rouges de géorgie, les fils des anciens esclaves et les fils des anciens propriétaires d'esclaves pourront s'asseoir ensemble à la table de la fraternité. Je rêve qu'un jour, même l'état du Mississippi, un état qui étouffe dans la fournaise de l'injustice, qui étouffe dans la fournaise de l'oppression, se transformera en oasis de liberté et de justice. Je rêve que mes quatre jeunes enfants vivront un jour dans une nation où ils ne seront pas jugés sur la couleur de leur peau, mais sur leur personnalité propre.»Le discours s’achève par une stance d’un Negro Spiritual chant religieux né dans la communauté noire américaine et à l’origine du gospel béni soit le Tout-Puissant, nous sommes libres enfin ! ».Who wrote the "I have a dream" speech?I have a dream is Martin Luther King's most famous speech. It is considered by many as the most powerful/beautiful ça dépend du but speech ever given by an American. With universal reach, it places itself in the historic context of the August 28th, 1963 march on Washington, The enthusiasm and fervor which accompanied the speech contributed to the adoption of the 1964-65 anti-segregation laws. He spoke at the end of the protest, in front of the Lincoln Memorial, to call for an end to racism in the United States. A remarkable orator, experienced as a pastor and leader of civic movements, King was inspired by biblical themes and American constitutional writings. The first part of his allocution was crafted around unkept promises the Negro […] and finds himself an exile in his own land. » un siècle après l’abolition de l’esclavage ; All men are created equal » is taken directly from the Declaration of Independence, and the Constitution guarantees to each and everyone the " xquotex ». But There will be neither rest nor tranquility in America until the Negro is granted his citizenship rights. The whirlwinds of revolt will continue to shake the foundations of our nation until the bright day of justice emerges.». nWe must not allow our creative protest to degenerate into physical violence. ». To words such as "slavery" and "hatred," King opposed "liberty" and "equality." The gospel singer standing next to him, Mahalia Jackson urged him on "Tell them about the dream, Martin! ». The second part of his speech, lasting 17 minutes, raised a wind of hope " I still have a dream … It is a dream deeply rooted in the American dream. [ …] ». He continued, in one of the most famous paragraphs, I have a dream that one day on the red hills of Georgia the sons of former slaves and the sons of former slave owners will be able to sit down together at the table of have a dream that one day even the state of Mississippi, a state sweltering with the heat of injustice, sweltering with the heat of oppression, will be transformed into an oasis of freedom and have a dream that my four little children will one day live in a nation where they will not be judged by the color of their skin but by the content of their character.»The speech ended by a Negro Spiritual stance a type of religious song created by the Black American community which gave rise to gospel music thank God Almighty, we are free at last!” ».Que dit le texte anglais du discours I have a dream » de Martin Luther King ?Extrait du texte du discours de Martin Luther King en anglais "I am happy to join with you today in what will go down in history as the greatest demonstration for freedom in the history of our score years ago, a great American, in whose symbolic shadow we stand today, signed the Emancipation Proclamation. This momentous decree came as a great beacon light of hope to millions of Negro slaves who had been seared in the flames of withering injustice. It came as a joyous daybreak to end the long night of their one hundred years later, the Negro still is not free. One hundred years later, the life of the Negro is still sadly crippled by the manacles of segregation and the chains of discrimination. One hundred years later, the Negro lives on a lonely island of poverty in the midst of a vast ocean of material prosperity. One hundred years later, the Negro is still languishing in the corners of American society and finds himself an exile in his own land. So we have come here today to dramatize a shameful a sense we have come to our nation's capital to cash a check. When the architects of our republic wrote the magnificent words of the Constitution and the Declaration of Independence, they were signing a promissory note to which every American was to fall heir. This note was a promise that all men, yes, black men as well as white men, would be guaranteed the unalienable rights of life, liberty, and the pursuit of is obvious today that America has defaulted on this promissory note insofar as her citizens of color are concerned. Instead of honoring this sacred obligation, America has given the Negro people a bad check, a check which has come back marked "insufficient funds." But we refuse to believe that the bank of justice is bankrupt. We refuse to believe that there are insufficient funds in the great vaults of opportunity of this nation. So we have come to cash this check — a check that will give us upon demand the riches of freedom and the security of justice. We have also come to this hallowed spot to remind America of the fierce urgency of now. This is no time to engage in the luxury of cooling off or to take the tranquilizing drug of gradualism. Now is the time to make real the promises of democracy. Now is the time to rise from the dark and desolate valley of segregation to the sunlit path of racial justice. Now is the time to lift our nation from the quick sands of racial injustice to the solid rock of brotherhood. Now is the time to make justice a reality for all of God's would be fatal for the nation to overlook the urgency of the moment. This sweltering summer of the Negro's legitimate discontent will not pass until there is an invigorating autumn of freedom and equality. Nineteen sixty-three is not an end, but a beginning. Those who hope that the Negro needed to blow off steam and will now be content will have a rude awakening if the nation returns to business as usual. There will be neither rest nor tranquility in America until the Negro is granted his citizenship rights. The whirlwinds of revolt will continue to shake the foundations of our nation until the bright day of justice there is something that I must say to my people who stand on the warm threshold which leads into the palace of justice. In the process of gaining our rightful place we must not be guilty of wrongful deeds. Let us not seek to satisfy our thirst for freedom by drinking from the cup of bitterness and must forever conduct our struggle on the high plane of dignity and discipline. We must not allow our creative protest to degenerate into physical violence. Again and again we must rise to the majestic heights of meeting physical force with soul force. The marvelous new militancy which has engulfed the Negro community must not lead us to a distrust of all white people, for many of our white brothers, as evidenced by their presence here today, have come to realize that their destiny is tied up with our destiny. They have come to realize that their freedom is inextricably bound to our freedom. We cannot walk alone." ...
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La traduction de I Have A Dream de Abba est disponible en bas de page juste après les paroles originales I have a dream, a song to sing To help me cope with anything If you see the wonder of a fairy tale You can take the future even if you fail I believe in angels Something good in everything I see I believe in angels When I know the time is right for me I'll cross the stream - I have a dream I have a dream, a fantasy To help me through reality And my destination makes it worth the while Pushing through the darkness still another mile I believe in angels Something good in everything I see I believe in angels When I know the time is right for me I'll cross the stream - I have a dream I'll cross the stream - I have a dream I have a dream, a song to sing To help me cope with anything If you see the wonder of a fairy tale You can take the future even if you fail I believe in angels Something good in everything I see I believe in angels When I know the time is right for me I'll cross the stream - I have a dream I'll cross the stream - I have a dream Traduction I Have A Dream - Abba J'ai un rêve, une chanson à chanter Pour m'aider à faire face à tout Si tu vois la magie d'un conte de fées Tu peux affronter l'avenir même si tu échoues Je crois aux anges Il y a quelque chose de bon dans tout ce que je vois Je crois aux anges Quand je sais que le temps est bon pour moi Je traverserai le ruisseau - J'ai un rêve J'ai un rêve, un fantasme Pour m'aider à traverser la réalité Et ma destination fait que ça en vaut la peine Poussé à travers l'obscurité reste un autre mile Je crois aux anges Il y a du bon dans tout ce que je vois Je crois aux anges Quand je sais que le temps est bon pour moi Je traverserai le ruisseau - J'ai un rêve J'ai un rêve, une chanson à chanter Pour m'aider à faire face à tout Si tu vois la magie d'un conte de fées Tu peux affronter l'avenir même si tu échoues Je crois aux anges Il y a du bon dans tout ce que je vois Je crois aux anges Quand je sais que le temps est bon pour moi Je traverserai le ruisseau - J'ai un rêve Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM
Quandle livre rencontre la scène 21 ans de créations, d’émotions et de passions ! À LA VIE ! La 21 e édition des Rencontres d’été théâtre & lecture se tient du 16
Je suis heureux de me joindre à vous aujourd’hui pour participer à ce que l’histoire appellera la plus grande démonstration pour la liberté dans les annales de notre nation. Il y a un siècle de cela, un grand Américain qui nous couvre aujourd’hui de son ombre symbolique signait notre Proclamation d’Émancipation. Ce décret capital se dresse, comme un grand phare illuminant d’espérance les millions d’esclaves marqués au feu d’une brûlante injustice. Ce décret est venu comme une aube joyeuse terminer la longue nuit de leur captivité. Mais, cent ans plus tard, le Noir n’est toujours pas libre. Cent ans plus tard, la vie du Noir est encore terriblement handicapée par les menottes de la ségrégation et les chaînes de la discrimination. Cent ans plus tard, le Noir vit à l’écart sur son îlot de pauvreté au milieu d’un vaste océan de prospérité matérielle. Cent ans plus tard, le Noir languit encore dans les coins de la société américaine et se trouve exilé dans son propre pays. C’est pourquoi nous sommes venus ici aujourd’hui dénoncer une condition humaine honteuse. En un certain sens, nous sommes venus dans notre capitale nationale pour encaisser un chèque. Quand les architectes de notre République ont magnifiquement rédigé notre Constitution de la Déclaration d’Indépendance, ils signaient un chèque dont tout Américain devait hériter. Ce chèque était une promesse qu’à tous les hommes, oui, aux Noirs comme aux Blancs, seraient garantis les droits inaliénables de la vie, de la liberté et de la quête du bonheur. Il est évident aujourd’hui que l’Amérique a manqué à ses promesses à l’égard de ses citoyens de couleur. Au lieu d’honorer son obligation sacrée, l’Amérique a délivré au peuple Noir un chèque en bois, qui est revenu avec l’inscription “ provisions insuffisantes ”. Mais nous refusons de croire qu’il n’y a pas de quoi honorer ce chèque dans les vastes coffres de la chance, en notre pays. Aussi, sommes-nous venus encaisser ce chèque, un chèque qui nous donnera sur simple présentation les richesses de la liberté et la sécurité de la justice. Nous sommes également venus en ce lieu sacrifié pour rappeler à l’Amérique les exigeantes urgences de l’heure présente. Ce n’est pas le moment de s’offrir le luxe de laisser tiédir notre ardeur ou de prendre les tranquillisants des demi-mesures. C’est l’heure de tenir les promesses de la démocratie. C’est l’heure d’émerger des vallées obscures et désolées de la ségrégation pour fouler le sentier ensoleillé de la justice raciale. C’est l’heure d’arracher notre nation des sables mouvant de l’injustice raciale et de l’établir sur le roc de la fraternité. C’est l’heure de faire de la justice une réalité pour tous les enfants de Dieu. Il serait fatal pour la nation de fermer les yeux sur l’urgence du moment. Cet étouffant été du légitime mécontentement des Noirs ne se terminera pas sans qu’advienne un automne vivifiant de liberté et d’égalité. 1963 n’est pas une fin, c’est un commencement. Ceux qui espèrent que le Noir avait seulement besoin de se défouler et qu’il se montrera désormais satisfait, auront un rude réveil, si la nation retourne à son train-train habituel. Il n’y aura ni repos ni tranquillité en Amérique jusqu’à ce qu’on ait accordé au peuple Noir ses droits de citoyen. Les tourbillons de la révolte ne cesseront d’ébranler les fondations de notre nation jusqu’à ce que le jour éclatant de la justice apparaisse. Mais il y a quelque chose que je dois dire à mon peuple, debout sur le seuil accueillant qui donne accès au palais de la justice en procédant à la conquête de notre place légitime, nous ne devons pas nous rendre coupables d’agissements répréhensibles. Ne cherchons pas à satisfaire notre soif de liberté en buvant à la coupe de l’amertume et de la haine. Nous devons toujours mener notre lutte sur les hauts plateaux de la dignité et de la discipline. Nous ne devons pas laisser nos revendications créatrices dégénérer en violence physique. Sans cesse, nous devons nous élever jusqu’aux hauteurs majestueuses où la force de l’âme s’unit à la force physique. Le merveilleux esprit militant qui a saisi la communauté noire ne doit pas nous entraîner vers la méfiance de tous les Blancs, car beaucoup de nos frères blancs, leur présence ici aujourd’hui en est la preuve, ont compris que leur destinée est liée à la nôtre. L’assaut que nous avons monté ensemble pour emporter les remparts de l’injustice doit être mené par une armée bi-raciale. Nous ne pouvons marcher tout seul au combat. Et au cours de notre progression il faut nous engager à continuer d’aller de l’avant ensemble. Nous ne pouvons pas revenir en arrière. Il y a des gens qui demandent aux militants des Droits Civiques “ Quand serez-vous enfin satisfaits ? ” Nous ne serons jamais satisfaits aussi longtemps que le Noir sera la victime d’indicibles horreurs de la brutalité policière. Nous ne pourrons être satisfaits aussi longtemps que nos corps, lourds de la fatigue des voyages, ne trouveront pas un abri dans les motels des grandes routes ou les hôtels des villes. Nous ne pourrons être satisfaits aussi longtemps que la liberté de mouvement du Noir ne lui permettra guère que d’aller d’un petit ghetto à un ghetto plus grand. Nous ne pourrons être satisfaits aussi longtemps que nos enfants, même devenus grands, ne seront pas traités en adultes et verront leur dignité bafouée par les panneaux “ Réservé aux Blancs ”. Nous ne pourrons être satisfaits aussi longtemps qu’un Noir du Mississippi ne pourra pas voter et qu’un Noir de New-York croira qu’il n’a aucune raison de voter. Non, nous ne sommes pas satisfaits et ne le serons jamais, tant que le droit ne jaillira pas comme l’eau, et la justice comme un torrent intarissable. Je n’ignore pas que certains d’entre vous ont été conduis ici par un excès d’épreuves et de tribulations. D’aucuns sortent à peine d’étroites cellules de prison. D’autres viennent de régions où leur quête de liberté leur a valu d’être battus par les orages de la persécution et secoués par les bourrasques de la brutalité policière. Vous avez été les héros de la souffrance créatrice. Continuez à travailler avec la certitude que la souffrance imméritée vous sera rédemptrice. Retournez dans le Mississippi, retournez en Alabama, retournez en Caroline du Sud, retournez en Georgie, retournez en Louisiane, retournez dans les taudis et les ghettos des villes du Nord, sachant que de quelque manière que ce soit cette situation peut et va changer. Ne croupissons pas dans la vallée du désespoir. Je vous le dis ici et maintenant, mes amis, bien que, oui, bien que nous ayons à faire face à des difficultés aujourd’hui et demain je fais toujours ce rêve c’est un rêve profondément ancré dans l’idéal américain. Je rêve que, un jour, notre pays se lèvera et vivra pleinement la véritable réalité de son credo “ Nous tenons ces vérités pour évidentes par elles-mêmes que tous les hommes sont créés égaux ”. Je rêve qu’un jour sur les collines rousses de Georgie les fils d’anciens esclaves et ceux d’anciens propriétaires d’esclaves pourront s’asseoir ensemble à la table de la fraternité. Je rêve qu’un jour, même l’Etat du Mississippi, un Etat où brûlent les feux de l’injustice et de l’oppression, sera transformé en un oasis de liberté et de justice. Je rêve que mes quatre petits-enfants vivront un jour dans une nation où ils ne seront pas jugés sur la couleur de leur peau, mais sur la valeur de leur caractère. Je fais aujourd’hui un rêve ! Je rêve qu’un jour, même en Alabama, avec ses abominables racistes, avec son gouverneur à la bouche pleine des mots “ opposition ” et “ annulation ” des lois fédérales, que là même en Alabama, un jour les petits garçons noirs et les petites filles blanches pourront se donner la main, comme frères et sœurs. Je fais aujourd’hui un rêve ! Je rêve qu’un jour toute la vallée sera relevée, toute colline et toute montagne seront rabaissées, les endroits escarpés seront aplanis et les chemins tortueux redressés, la gloire du Seigneur sera révélée à tout être fait de chair. Telle est notre espérance. C’est la foi avec laquelle je retourne dans le Sud. Avec cette foi, nous serons capables de distinguer dans la montagne du désespoir une pierre d’espérance. Avec cette foi, nous serons capables de transformer les discordes criardes de notre nation en une superbe symphonie de fraternité. Avec cette foi, nous serons capables de travailler ensemble, de prier ensemble, de lutter ensemble, d’aller en prison ensemble, de défendre la cause de la liberté ensemble, en sachant qu’un jour, nous serons libres. Ce sera le jour où tous les enfants de Dieu pourront chanter ces paroles qui auront alors un nouveau sens “ Mon pays, c’est toi, douce terre de liberté, c’est toi que je chante. Terre où sont morts mes pères, terre dont les pèlerins étaient fiers, que du flanc de chacune de tes montagnes, sonne la cloche de la liberté ! ” Et, si l’Amérique doit être une grande nation, que cela devienne vrai. Que la cloche de la liberté sonne du haut des merveilleuses collines du New Hampshire ! Que la cloche de la liberté sonne du haut des montagnes grandioses de l’Etat de New-York ! Que la cloche de la liberté sonne du haut des sommets des Alleghanys de Pennsylvanie ! Que la cloche de la liberté sonne du haut des cimes neigeuses des montagnes rocheuses du Colorado ! Que la cloche de la liberté sonne depuis les pentes harmonieuses de la Californie ! Mais cela ne suffit pas. Que la cloche de la liberté sonne du haut du mont Stone de Georgie ! Que la cloche de la liberté sonne du haut du mont Lookout du Tennessee ! Que la cloche de la liberté sonne du haut de chaque colline et de chaque butte du Mississippi ! Du flanc de chaque montagne, que sonne le cloche de la liberté ! Quand nous permettrons à la cloche de la liberté de sonner dans chaque village, dans chaque hameau, dans chaque ville et dans chaque Etat, nous pourrons fêter le jour où tous les enfants de Dieu, les Noirs et les Blancs, les Juifs et les non-Juifs, les Protestants et les Catholiques, pourront se donner la main et chanter les paroles du vieux Negro Spiritual “ Enfin libres, enfin libres, grâce en soit rendue au Dieu tout puissant, nous sommes enfin libres ! ”. »
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Вричевс θгиսуգ աврерθСл них
2 Ecoute du discours et vérification des hypothèses : lister les « rêves » de MLK + « a dream deeply rooted in the American Dream » 3/ Travail sur le vocabulaire puis texte à trous (le discours) avec lexique simple à réemployer (aides pour le lexique plus difficile). 4/ Reformulation des idées importantes du discours.
3 raisons pour lesquelles vous devriez utiliser des nuages de mots pour présenter vos textes Qui utilise les nuages de mots? Les cinq principales étapes de la création d’un nuage de mots avec le logiciel R Etape 1 Créez un fichier texte Etape 2 Installer et charger les packages nécessaires Etape 3 Exploration de textes Charger le texte La transformation du texte Nettoyage du texte Etape 4 Construire la matrice des mots Etape 5 Générer le nuage de mots Allez plus loin Explorer les mots fréquents ainsi que leurs associations Table de la fréquence des mots Dessiner la fréquence des mots Infos Le principe du nuage de mots est basé sur une méthode d’analyse de textes qui nous permet de mettre en évidence les mots-clés les plus fréquemment utilisés dans un paragraphe de textes. Le nuage de mots est également appelé word cloud ou tag cloud en anglais. La procédure de création d’un nuage de mots est très simple avec le logiciel R si vous connaissez les différentes étapes à exécuter. Le package tm pour text mining et le package wordcloud pour générer le nuage de mots clés sont disponibles dans R pour nous aider à analyser des textes et de visualiser rapidement les mots-clés en nuage de mots. L’objectif de ce tutoriel est d’expliquer les différentes étapes pour générer un nuage de mots à partir du logiciel R. 3 raisons pour lesquelles vous devriez utiliser des nuages de mots pour présenter vos textes Le nuage de mots est une méthode puissante pour l’analyse de textes. Il ajoute de la simplicité et de la clarté. Les mots-clés les plus utilisés ressortent mieux dans un nuage de mots. Le nuage de mots est un outil de communication puissant. Il est facile à comprendre, à partager et est percutant Le nuage de mots est visuellement plus agréable qu’une table de données remplie de textes Qui utilise les nuages de mots? Les chercheurs pour la présentation des données qualitatives Les Marketers pour mettre en évidence les besoins et les points d’insatisfaction des clients Les enseignants pour soutenir des sujets essentiels Les politiciens et les journalistes Les réseaux sociaux pour collecter, analyser et partager les sentiments des utilisateurs Les cinq principales étapes de la création d’un nuage de mots avec le logiciel R Etape 1 Créez un fichier texte Dans les exemples suivants, je vais analyser le discours de Martin Luther King “I have a dream”, mais vous pouvez utiliser n’importe quel autre texte Copiez et collez le texte dans un fichier texte par exemple Enregistrez le fichier Notez que, le texte doit être enregistré dans un fichier au format texte simple .txt en utilisant votre éditeur de texte favori. Etape 2 Installer et charger les packages nécessaires Les packages text mining tm et wordcloud sont nécessaires. Ils peuvent être installés et chargés en utilisant le code de R ci-dessous Installer pour le text mining pour le text stemming générateur de word-cloud Palettes de couleurs Charger library"tm" library"SnowballC" library"wordcloud" library"RColorBrewer" Etape 3 Exploration de textes Charger le texte Le texte peut être chargé en utilisant la fonction Corpus du package tm. Corpus est une liste de documents dans notre cas, nous avons juste un seul fichier. Dans l’exemple ci-dessous, j’ai chargé un fichier .txt disponible sur le site web STHDA. Vous pouvez utiliser n’importe quel fichier de votre ordinateur. Lire le fichier texte filePath <- " text <- readLinesfilePath Charger les données comme un corpus docs <- CorpusVectorSourcetext La fonction VectorSource se charge de la création du corpus de textes ensemble de vecteurs de textes Le contenu du document peut être consulté comme suit inspectdocs La transformation du texte La transformation du texte est effectuée en utilisant la fonction tm_map pour remplacer, par exemple, des caractères spéciaux non utiles. Remplacer “/”, “” et “” avec un espace toSpace <- content_transformerfunction x , pattern gsubpattern, " ", x docs <- tm_mapdocs, toSpace, "/" docs <- tm_mapdocs, toSpace, "" docs <- tm_mapdocs, toSpace, "\\" Nettoyage du texte La fonction tm_map est utilisée pour supprimer les espaces inutiles, pour convertir le texte en minuscules, supprimer les “mots vides” stopwords en anglais. Il s’agit des mots très courants dans une langue comme “le”, “la”, “nous”, “et”, etc. La valeur de l’information de ces “mots vides” est proche de zéro en raison du fait qu’ils sont si communs dans une langue. La suppression de ce genre de mots est utile avant de poursuivre une analyse plus approfondie. Pour la suppression de ces mots vides, les langues supportées sont danish, dutch, english, finnish, french, german, hungarian, italian, norwegian, portuguese, russian, spanish et swedish. Le nom des langues est sensible à la casse. Je vais aussi vous montrer comment faire pour supprimer votre propre liste de mots du texte. Vous pouvez également supprimer des chiffres et ponctuations avec les arguments removeNumbers et removePunctuation. Une autre étape importante de préparation du texte est de faire du texte stemming. Ce processus consiste à réduire les mots à leurs racines. En d’autres termes, ce processus supprime les suffixes des mots pour les rendre simples et pour obtenir l’origine commune. Par exemple, le text stemming va réduire les mots “partir”, “partant”, “partons” à la racine “partir”. Notez que le text stemming nécessite le package SnowballC’. Le code R ci-dessous peut être utilisé pour nettoyer le texte Convertir le texte en minuscule docs <- tm_mapdocs, content_transformertolower Supprimer les nombres docs <- tm_mapdocs, removeNumbers Supprimer les mots vides anglais docs <- tm_mapdocs, removeWords, stopwords"english" Supprimer votre propre liste de mots non désirés docs <- tm_mapdocs, removeWords, c"blabla1", "blabla2" Supprimer les ponctuations docs <- tm_mapdocs, removePunctuation Supprimer les espaces vides supplémentaires docs <- tm_mapdocs, stripWhitespace Text stemming docs <- tm_mapdocs, stemDocument Etape 4 Construire la matrice des mots La matrice des mots term-documents matrix est une table contenant la fréquence des mots. La fonction TermDocumentMatrix du package text mining peut être utilisée comme suit dtm <- TermDocumentMatrixdocs m <- v <- sortrowSumsm,decreasing=TRUE d <- = namesv,freq=v headd, 10 word freq will will 17 freedom freedom 13 ring ring 12 day day 11 dream dream 11 let let 11 every every 9 able able 8 one one 8 together together 7 Etape 5 Générer le nuage de mots L’importance des mots peut être illustrée par un nuage de mots comme suit wordcloudwords = d$word, freq = d$freq, = 1, colors= "Dark2" Le nuage de mots ci-dessus montre clairement que les mots “Will”, “freedom”, “dream”, “day” et “together” sont les cinq mots les plus importants dans le texte “I have a dream” de Martin Luther King. Les arguments de la fonction wordcloud sont words les mots à dessiner freq la fréquence des mots les mots avec une fréquence en dessous de ne seront pas illustrés nombre maximum de mots à dessiner dessine les mots dans un ordre aléatoire. Si false, ils seront dessinés par ordre décroissant de la fréquence la proportion de mots verticaux sur le graphe colors couleurs des mots du moins au plus fréquent. Utiliser par exemple, colors =“black” pour une couleur unique. Allez plus loin Explorer les mots fréquents ainsi que leurs associations Vous pouvez voir les mots les plus fréquents comme suit. L’exemple, ci-dessous, montre les mots qui sont fréquents au moins 4 fois dans le texte findFreqTermsdtm, lowfreq = 4 [1] "able" "day" "dream" "every" "faith" "free" "freedom" "let" "mountain" "nation" [11] "one" "ring" "shall" "together" "will" Vous pouvez analyser l’association entre les mots leur corrélation en utilisant la fonction findAssocs. Le code R ci-dessous identifie les mots qui sont le plus fréquemment associés à “freedom” dans le texte I have a dream findAssocsdtm, terms = "freedom", corlimit = freedom let ring mississippi mountainside stone every mountain state Table de la fréquence des mots headd, 10 word freq will will 17 freedom freedom 13 ring ring 12 day day 11 dream dream 11 let let 11 every every 9 able able 8 one one 8 together together 7 Dessiner la fréquence des mots La fréquence des 10 premiers mots est montré ci-dessous barplotd[110,]$freq, las = 2, = d[110,]$word, col ="lightblue", main ="Most frequent words", ylab = "Word frequencies" Infos Cette analyse a été réalisée avec le logiciel R ver. Enjoyed this article? I’d be very grateful if you’d help it spread by emailing it to a friend, or sharing it on Twitter, Facebook or Linked In. Show me some love with the like buttons below... Thank you and please don't forget to share and comment below!! Avez vous aimé cet article? 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SVT AIDE AUX DEVOIRS. MUSIQUE. EPS. PHYSIQUE-CHIMIE. The declaration of Independence - USA. Martin Luther King’s Speech "I have Ce fut selon ses mots le plus beau jour de sa vie ». Ce 28 août 1963, vêtue de son uniforme de la France libre, elle fut la seule femme à s’exprimer aux côtés de Martin Luther King, lors de la grande marche pour les droits civiques à Washington. Ce jour-là, juste après sa parole, le leader noir allait égrener ses fameux I have a dream ». Discours qui éclipsa sans doute le non moins vibrant appel de Joséphine Baker. Elle est tout entière dans ces paroles, son destin, ses combats, sa pugnacité, son énergie. Engagée, spontanée, elle y est débordante d’amour et d’elle-même, cherchant à insuffler du courage à ces Noirs d’Amérique en rappelant les épreuves qu’elle a endurées. Exemple paradoxal d’une femme qui avait réussi parce qu’elle avait tourné le dos à son pays, elle, la naturalisée française qui avait préféré fuir l’Amérique raciste et ségrégationniste pour un Paris plus tolérant. Preuve aussi d'un engagement inclassable qui la vit militer aux côtés des Noirs américains en 1963, être invitée par Fidel Castro au sommet de la Tricontinentale en 1966, puis se retrouver le 30 mai 1968 dans la manifestation de soutien au général de Gaulle sur les Champs-Elysées, en souvenir de son action dans la France Libre. Antiracisme, tiers-mondisme, patriotisme gaulliste tout cela cohabita sans mal chez cette femme. L’académicien Pascal Ory, membre du Comité pour la panthéonisation de Joséphine Baker, nous a transmis ce texte inédit que nous traduisons en exclusivité pour Le Point. Mes amis, ma famille… Vous savez que ma vie est déjà longue et que j’ai fait un long voyage. Et vous devez savoir que ce que j’ai fait, c’était d’abord pour moi. Mais à mesure que je vivais tout cela, je me suis demandé si vous viviez les mêmes choses, et alors j’ai compris que vous n’aviez aucun moyen de vous défendre, comme moi-même je n’en avais eu tandis que je continuais à faire ce que j’avais à faire, à dire ce que j’avais à dire, ils ont commencé à me battre. Je ne dis pas qu’ils me battaient avec un bâton, ce que j’ai vu qu’on vous faisait, mais ils m’ont battue avec leurs stylos, avec leurs articles. Et cela, mes amis, je vous prie de croire que c’est bien LIRE AUSSIJoséphine Baker au Panthéon gare à la récupérationQuand j’étais enfant et qu’ils m’ont chassée de ma maison, j’ai eu peur et j’ai fui. Par la suite, j’ai fui encore plus loin. Jusqu’à un endroit qui s’appelle la France. Beaucoup d’entre vous y ont été, beaucoup d’autres ne le connaissent pas. Mais je dois vous dire, mesdames et messieurs, que dans ce pays, je n’ai jamais eu peur. C’était un endroit féerique !Et je n’ai pas besoin de vous raconter toutes les merveilleuses choses qui me sont arrivées là-bas. Mais je sais que vous, les enfants, vous ne savez pas qui est Joséphine Baker, alors allez demander à votre grand-père ou à votre grand-mère, ils vous le diront. Vous savez ce qu’ils vous diront ? “Mais c’était le diable !” Et vous savez quoi, ils auront raison. Car c’est ce que j’ai été aussi. J’ai été le diable dans les autres pays, mais en Amérique, j’ai été un tout petit dois vous dire autre chose quand j’étais jeune à Paris, il m’est arrivé d’étranges choses. Des choses que je n’avais jamais vécues. Quand j’ai quitté Saint-Louis il y a très longtemps, on m’avait fait monter dans le dernier wagon. Vous savez tous ce que cela signifie. Mais quand j’ai fui dans un autre pays, je n’ai plus eu à faire cela. Je pouvais manger dans n’importe quel restaurant, je pouvais boire un verre à ma guise, je n’avais pas à aller dans des toilettes réservées aux gens de couleur, et je dois vous dire que c’était très agréable, je m’y suis habituée, cela m’a plu et je n’avais plus peur que quelqu’un se mette à me crier dessus pour me dire “Toi, la Négresse, tu vas au bout de la queue.” J’utilise très rarement ce mot. Mais vous savez qu’on l’a employé très souvent à mon donc, très loin d’ici, j’étais heureuse, et parce que j’étais heureuse, j’ai eu du succès, vous savez cela de longues années, je suis revenue en Amérique pour participer à un grand spectacle, celui de monsieur Ziegfield, et vous devinez que Joséphine était heureuse d’y être. Parce que partout dans mon pays, je voulais faire savoir que j’avais réussi, que je m’en étais bien sortie, ce qui est LIRE AUSSIPourquoi Macron va panthéoniser Joséphine BakerMais sur le beau navire qui m’a amenée en Amérique, j’ai vécu une très mauvaise expérience. Une grande star américaine devait venir partager ma table, or, au dernier moment, j’ai découvert qu’elle ne voulait pas dîner avec une Noire. Cela a été un coup terrible. Il est inutile de mentionner son nom, c’est sans importance, elle est morte je suis arrivée à New York, j’ai reçu d’autres coups. On ne m’a pas laissée dormir dans les beaux hôtels, on ne m’a pas laissée manger dans certains restaurants. Quand je me suis retrouvée à Atlanta, ce fut horrible. Et je me suis dit, mon Dieu, je suis tout de même Joséphine Baker, s’ils me font ça à moi, que font-ils à tous les autres en Amérique ?Vous savez, mes amis, que je ne vous mens pas quand je vous raconte que j’ai été reçue dans des palais de reines et de rois, dans des maisons de chefs d'État. Mais je n’ai pas eu le droit d’entrer dans un hôtel d’Amérique ni de demander une tasse de café. Cela m’a rendue folle. Et quand je deviens folle, vous savez que j’ouvre ma bouche. Et alors là, attention, quand Joséphine l’ouvre, on l’entend dans le monde me suis même mise à crier, pour demander ce que j’étais censée recevoir, ce que j’avais le droit d’obtenir. Mais ils ont continué à me le refuser. Ils ont pensé alors qu’ils pouvaient me salir ; la meilleure façon de le faire, c’était de me traiter de communiste. Vous savez ce que cela signifie. Il s’agissait d’un mot très redoutable à l’époque, j’ai été harcelée par leurs agences de renseignements, même si elles n’ont jamais obtenu la moindre preuve que j’étais communiste. Mais ils étaient fous. Ils étaient fous parce que j’osais dire la vérité. Et la vérité, c’était que je voulais simplement une tasse de café. Mais je la voulais à l’endroit où je souhaitais la boire, j’avais assez d’argent pour la payer, alors pourquoi je ne pouvais pas l’avoir exactement là où je la voulais ?Mes amis, mes frères et mes sœurs, voilà donc comment cela s’est passé. À force de m’entendre crier très fort, ils ont commencé à entrebâiller la porte. Nous nous sommes tous engouffrés, pas seulement les gens de couleur, mais les autres aussi, les autres minorités, les Asiatiques, les Mexicains, les Indiens, ceux des États-Unis comme ceux qui viennent d’ ne suis pas là devant vous aujourd’hui pour prétendre que tout cela, c’est grâce à moi. Non, je ne ferai pas cela. En revanche, ma contribution sera de vous dire de faire la même chose si vous criez, mes amis, je peux vous assurer que vous serez entendus. Et c’est maintenant que vous devez être vous, les jeunes, vous devez encore faire autre chose. Je sais que vous avez entendu cela des milliers de fois dans la bouche de vos parents, comme, moi-même, je l’avais entendu dire par ma mère. Je n’ai pas suivi son conseil, sinon d’une autre manière. Vous devez recevoir une éducation. Vous devez aller à l’école et apprendre à vous défendre. Et vous devez apprendre à vous défendre avec un stylo et non avec une arme. Alors vous pourrez leur répondre et je peux vous dire, mes amis – et ce n’est pas juste une banalité – qu’un stylo est plus puissant qu’une ne suis plus une jeune femme, mes amis. Ma vie est derrière moi. Le feu qu’il y avait en moi commence à décliner. Avant qu’il ne s’éteigne, je veux utiliser ce qu’il en reste pour allumer le feu qui est en vous. Afin que vous puissiez continuer, afin que vous puissiez faire ces choses que j’ai faites. Alors, quand mon feu se sera consumé et que j’irai là où nous allons tous, je pourrai être savez que j’ai toujours pris les chemins parsemés d’obstacles. Je n’ai jamais emprunté la voie la plus facile, mais en vieillissant, alors que je me savais plus forte et plus solide, j’ai pris à nouveau ces chemins en espérant qu’ils me soient plus faciles. Je voudrais qu’ils soient moins pénibles pour vous. Je vous souhaite d’avoir autant de chance que moi, mais je ne veux pas que vous ayez à fuir votre pays. Et vous, les pères et les mères, s’il est trop tard pour vous, pensez à vos enfants. Faites de ce pays un endroit plus sûr afin qu’ils n’aient pas à s’enfuir, car je veux que vous ayez, vous et vos enfants, ce que j’ai et messieurs, mes amis, ma famille, on vient de me transmettre un petit message. C’est une invitation à venir rendre visite au président des États-Unis, chez lui, à la Maison-Blanche. Je suis très honorée. Mais je dois vous dire que ce n’est pas la femme de couleur – la Noire, comme vous dites ici aux États-Unis – qui ira là-bas. C’est une femme. C’est Joséphine Baker. C’est un grand honneur pour moi. Je veux qu’un jour, vous aussi, les enfants, vous ayez ce même honneur. Et nous savons que ce jour n’est pas pour demain, qu’il doit arriver vous remercie et que Dieu vous bénisse. Et qu’Il continue à vous bénir longtemps après que j’aurai disparu. » .
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